Ci-dessous, les articles en rapport avec “Travaux”
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Du bois pour Paris
A propos à propos de la sylviculture
à propos de sa renommée
Par le passé déjà en 1896 : Le mardi 7 juillet 1896 vers 19h15, un violent orage éclate sur Saint Ouen en Belin. La foudre s’abat sur le clocher et met le feu à l’église.
Seuls quelques vases sacrés et ornements purent être sauvés.
Le 6 novembre 1896 le conseil municipal valide la reconstruction de l’église dans un style roman.
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Indigents
La vie par le passé était laborieuse et beaucoup de travailleurs se trouvaient en état de pauvreté.
Ces “gagne-petit” pour passer l’hiver parcouraient la forêt pour glaner ou grapiller le bois de subsistance.
Considéré dans un premier temps comme du vol, les mentalités changèrent subitement par la pression médiatique, sous Napoléon III.
L’arrêt de cassation du 2 octobre 1807 édictait :
« … Que cet enlèvement avec charrettes, en violant la propriété nationale, détruit en même temps, au préjudice des pauvres, voisins des forêts, le bienfait de la tolérance d’humanité que le gouvernement exerce en leur faveur ; que cet enlèvement est donc à la fois une contravention à la loi et un acte spoliateur nuisible à l’indigent ».
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Bois chantant
Sur la piste du bois chantant
Cette énigme “du bois qui parle”, est partie des Deux-Sèvres!
Procédant au dépouillement des registres paroissiaux d’Azay-sur-Thouet, un adhérent de GENEA 79, (n°35 page 9) a eu la surprise de trouver plusieurs actes mentionnant un commerce pratiqué au XVIIème siècle dans cette paroisse de Gâtine, celui du «bois chantant».
On trouve ainsi trace de marchands de bois chantant.
Un acheteur de bois chantant est venu du diocèse du Mans pour en acheter, preuve que ce bois était peut-être d’une espèce endémique.
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Chevaux
Chevaux et mulets en forêt : Le cheval … tracteur de nos aïeux.
Par le passé, le brioleur était un transporteur qui enlevait les bois et fagots abattus par les bûcherons en forêt, et les acheminait chargés sur les bâts de ses chevaux à la lisière de la forêt où ils étaient mis en tas pour être ensuite chargés par les rouliers. Le barasseur (baudelier, voiturier ou roulier) transportait plus particulièrement les troncs d’arbres ou autres bois avec des bêtes de somme et les évacuait du massif.
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Les scieries
On sait scier du bois depuis l’Antiquité. L’invention de la scie à main (du latin secare, couper) est le fruit de l’observation, celle d’un homme qui aurait eu l’idée de reproduire dans du fer la denture de la mâchoire de requin ou les dents de la coquille Saint-Jacques.
Des modifications interviendront au fil des siècles sur la qualité et les matériaux des lames.
Mais c’est au 17ème siècle que l’on utilisera l’acier cémenté puis au 18ème siècle qu’arrivera l’acier fondu.
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Ballet et habitat rustique
A propos à propos du bâti forestier
La loge de l’atelier ou du chantier
La forêt-abri est la fonction la plus ancienne des massifs forestiers. Les huttes en bois, parfois recouvertes de terre, construites en forêt par les bûcherons, charbonniers et autres sabotiers, étaient des survivances des premiers abris construits par les hommes avant l'Histoire
Recherchons l’origine du mot balay, balet, ballet, loge selon les définitions du XVIIème. Diverses orthographes…
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Les éhouppeurs
L’éhouppeur ou émondeur C’est la profession la plus exposée en forêt.
Imaginez-vous grimper à 25 ou 30 m du sol avec votre matériel, et du haut, entreprendre à la hache, l’abatage (1), tout en prenant soin de votre équilibre.
Éhouppeurs de la scierie Berger de Marigné-Laillé Les grumes de chênes de Bercé, parées de leur belle couleur rosée, sont tendres à souhait et se fendent facilement.
Ces particularités font que les marchands de bois ne tergiversent pas longtemps sur le nombre d’arbres à éhoupper.
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Carbonisation
Durant la dernière guerre : la carbonisation La carbonisation, pour une forêt, n’est pas un facteur d’équilibre, car le bois est bien souvent coupé très jeune, dégradant au passage le paysage et les sols.
Bercé en fut protégé dans les temps anciens. Dans une Notice (1), rédigée pour l’Exposition universelle de 1878, monsieur Larzillière, sous-inspecteur des forêts, écrivait :
Le seul mode de carbonisation dont l’usage soit général en France est le procédé des meules.
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La Glandée
De tous temps, on a glandé à Bercé, mais toujours dans le bon sens du terme. Dans le temps, menait au (parnage ou pasnage ou panage) les cochons (ou gorins) au pâturage ou à la glandée en forêt. La nourriture qui y était glanée n’était pas une charge pour les usagers… tout au contraire.
Au début du 20ème siècle c’était pour réapprovisionner les différentes pépinières du massif. Les femmes de forestiers étaient employées en priorité et on leur réservait des cantons qui étaient en général bien fournis.
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Scieurs de long
1480 à 1938. Annie Arnoult, a édité un livre sur le sujet et nous décrit cette vie hors du commun. *Les scieurs de long faisaient partie de ces nombreux migrants du Massif Central qui partaient régulièrement, en “brigades” ou en bandes pour des saisons de travail à l’extérieur. De septembre à juin, ils vivaient loin de leur village, au cœur de forêts lointaines, dormant dans des cabanes où ils affrontaient la froidure de l’hiver, pour scier les planches et les poutres dans les troncs des plus hauts arbres.
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Révolte des sabotiers
La randonnée des ouvriers de Bercé La première partie du spectacle d’inauguration des jardins du château du Grand-Lucé présentait la «révolte des sabotiers».
La saynète rappelait un événement peu connu des érudits locaux de la lutte populaire contre les prix au début de la révolution. Il mérite une place dans la mémoire des Lucéens ; c’est pourquoi « Au Fil du Temps » consacrera plusieurs numéros à cet épisode, dramatique. (1)
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Le martelage
Le martelage est une opération sylvicole qui consiste à désigner les arbres à abattre, à l’aide d’un marteau et de son empreinte.
Peu de photos anciennes relatent cette particularité du métier de forestier sur Bercé.
Les gestes du marteleur se répètent inlassablement depuis l’arrivée des premiers forestiers sur le Massif de Bercé : (Gaubert (Gausbertus) forestier de Cléopas de Nouâtre en 1067 et Foucher, forestier de Gervais II, seigneur de Château du Loir (1071).
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la saboterie
A propos à propos de sa renommée
La saga du sabot Les sabots ont été portés par un très grand nombre de personnes
surtout dans le monde rural - jusque dans les années 1950. Arrive alors la botte qui détrône cette chaussure de bois et anéantit le métier de sabotier. On a compté jusqu’à trois sabotiers au Grand-Lucé, le dernier étant M. BINET en retraite depuis 1970. La famille Binet Monsieur BINET était né à Villaines-sous-Lucé en 1905, de parents agriculteurs.
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La Forêt, l'Homme et Bercé
La forêt, l’Homme et Bercé
Un film…(2019)
Laissez vous guider en forêt de Bercé par : Louis, Arthur et Côme (étudiants) et Guillaume (photographe animalier).
Films d’étudiants en filière bois à la Germinière de Rouillon. (20'05)
Bercé, forêt des hommes
Un livre…(février 2024)
Le livre d'Alain Szczuczynski et de Jean-François Clémence Un nouveau livre vient de paraître : Alain Szczuczynski et Jean-François Clémence nous emmènent découvrir les mystères cachés dans l’imaginaire de Bercé.
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Les bûcherons
L’exploitation des bois est le fait du marchand qui emploie ses bûcherons. Sur la photo, une équipe de trois bûcherons pose avec le facteur de coupe ou garde vente, en compagnie du Préposé des Eaux et Forêts Louis Pigault, lorsque celui ci occupait le poste de la Maison Forestière des Clos, vers 1920.
Mr. Massicot travaillait comme facteur pour la maison CAREL du Mans qui faisait du Merrain. Il avait une roulotte avec un cheval.
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Les ateliers
Les ateliers Les petits métiers se sont développés dans les massifs malaisés à exploiter et écartés des voies d’eau ou de terre; La confection d’objets représentait un moyen de valoriser sur place les matières ligneuses et de leur ouvrir malgré les obstacles, une certaine zone d’exportation».
– P. Deffontaines.
Une particularité méconnue de Bercé, c’est d’avoir produit un temps de la résine.
En effet, de 1919 à 1931 nombre de pins ont subit cette traumatisante expérience du gemmage.
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Bois de marine
A propos à propos de la sylviculture
à propos de sa renommée
Le bois de marine représente l’archétype de l’éternel décalage entre l’action présente des forestiers et les besoins futurs des générations montantes… avec le temps qui passe, ce qui est… n’est déjà plus au goût du jour…
En 1669, Jean-Baptiste Colbert, contrôleur des finances du royaume de France, met en place une vigoureuse politique d’expansion navale, pour repousser l’Anglais. Il faut drainer à travers tout le royaume les bois nécessaires à la construction des navires de guerre.