Ci-dessous, les articles en rapport avec “toponymie”
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Chêne Émery
Émery Auguste-Joseph est né le 16 août 1868 à Colmar (Haut-Rhin) 63ème de l’ENEF (sorti major en 1889), conservateur des Eaux et Forêts.
Il épousa Lucie Françoise Marion, qui est née le 27/9/1872 à Daix (Côte d’Or)
C’est à un grand voyageur auquel nous avons à faire, vu la longue liste de ses mutations. Par contre aucune photo de lui ne transparaît dans les archives.
1889 : garde général à Boulogne sur Mer.
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Chêne Roulleau de la Roussière
Louis René Roulleau de la Roussière Est né le 14 novembre 1857 à Blois. Son père Louis Roulleau de la Roussière (1830-1865) et sa mère Marie Anne Noémie Beaussier (1833-1909) sont originaires de Château-la-Vallière.
Marié le 2 septembre 1884 à Tours, avec Martine Henriette Cézanne (1864-1925), ils auront ensemble 2 garçons et une fille.
L’élève à Nancy (photo J.Barco) Louis Roulleau a su développer avec efficacité l’image de Bercé à travers le monde en accueillant bon nombre de délégations forestières étrangères, reprenant à son compte l’œuvre d’éducation entreprise par ses prédécesseurs.
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Chêne Potel
Louis Amédée Raoul Potel est né le 16 décembre 1862 à La Rochelle (Charentes Maritimes)
Garde général stagiaire à 24 ans, il est le fils de Pierre Antoine Ernest, inspecteur général des Ponts et Chaussées et d’Endoxie Marie Sophie Pigalle.
Services militaires : Chef de bataillon d’infanterie (Service spéciaux du territoire) Sous lieutenant de réserve le 19 septembre 1887.
Il se marie avec Madeleine Caroline Dumas en 1888. Lieutenant de réserve 19 septembre 1889.
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Chêne Lorne
Le samedi 27 septembre 2008 à 17h un forestier d’exception est de nouveau mis à l’honneur par ses pairs de l’O.N.F. Une centaine de personnes parcourent avec une certaine jubilation les quelques 300 m qui les séparent du Géant énigmatique.
La découverte du Chêne Lorne Après avoir été accueillis par Pascal Jarret (responsable forêt), Jean Marc Auban (directeur d’agence), Dominique Bouthier (directeur territorial), et avant que ne s’expriment Fabien Lorne et Roland du Luart, Bertrand Lorne, l’aîné de la famille prend la parole en ces termes :
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Nouveau chêne Boppe
Un nouveau roi est appelé à régner !
Le service forestier dans le cadre de la montée en puissance du tourisme vert, prévoit de baptiser le 14 juillet 1935 un nouveau chêne Boppe, non loin de son devancier (maigre … 87 cm de diamètre et 2m73 de circonférence) mais très droit et très élancé (la plus grande hauteur sous branche). Le rapprochement de l’A.C.O. (tourisme) et de l’Union syndicale des marchands de bois de la Sarthe sera scellé par cette cérémonie d’intronisation du nouvel arbre qui se déroulera à l’occasion du “9ème rallye international des carburants de remplacement” Sponsoring oblige !
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Ancien chêne Boppe - 1
Une forêt n’est pas un monument. Elle est composée d’êtres vivants que rien n’empêchera de s’acheminer vers la mort. Les forestiers ont le devoir de raisonner en économistes. Ils doivent donc assigner un terme à la vie des peuplements. Ce terme, ils le choisissent à la manière d’un éleveur, de façon à profiter au maximum de la période au cours de laquelle les arbres produisent le plus de matière ligneuse. Ils évitent cette période de vie ralentie et de décrépitude pendant laquelle l’accroissement est nul.
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Ancien chêne Boppe - 2
Enquête sur la mort du chêne Boppe. Aux Clos, l’importance du public dégrade fortement le milieu naturel, en piétinant sol au pied des chênes. Victime de ce succès inattendu, la terre autour du Chêne Boppe devient vite imperméable et les pluies ruissellent sans pouvoir pénétrer le sol.
Aussi les forestiers pratiquèrent dès 1901, aux abords directs du Chêne Boppe, à la mi-octobre puis tous les ans, un bêchage méthodique.
Albrecht note: deux ouvriers (concessionnaires) ont bêché sur deux jours le tour du Chêne Boppe).
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Bercé aux temps anciens
A propos à propos de son histoire
Un peu d’Histoire… À mi chemin entre Le Mans et Tours, lambeau de l’antique forêt de la gaule chevelue, Bercé n’a pas, au fil du temps, échappé aux défrichements. Déclaré “Res nullius”, l’espace forestier ou non est alors une terre sans maître, qui n’est possédée par personne mais que se disputent tous les usagers. Les traces néolithiques, les minières gallo-romaine et les enclos moyenâgeux jalonnent alors cet espace sauvage.