Ci-dessous, les articles en rapport avec “Sylviculture”
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Le fer
A propos à propos de la métallurgie
Au secondaire La région est sous les eaux. C’est la pleine époque du Cénomanien, les sables et argiles se déposent.
Au tertiaire Retrait des océans, soulèvement des sols, érosion…, l’eau chargée d’oxydes de fer s’infiltre et se décante de sa matière minérale dans les sables et argiles, en bancs irréguliers et discontinus.
La forme et le fond : Tout désignait Bercé pour l’exploitation du fer.
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L.I.D.A.R.
A propos à propos des découvertes archéologiques
La forêt n’a pas toujours été là … Et elle n’est pas naturelle car entièrement façonnée par l’homme.
La forêt est riche en éléments archéologiques et les sites présents sont très bien conservés. Si nous retrouvons des vestiges archéologiques en forêt, c’est parce que la forêt est un milieu qui préserve et conserve très bien ce patrimoine. L’érosion des sols y est moins importante qu’en milieu ouvert et les actions de l’homme liées à la gestion forestière sont bien moins perturbatrices que dans les champs ou en milieu urbain.
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Aménagements
La forêt de Bercé, au fil du temps n’a pas échappé aux défrichements.
Les traces néolithiques et gallo-romaine en font foi.
Les grands défrichements médiévaux se sont achevés autour de Bercé vers le 12ème siècle. A cette époque, la forêt faisait partie des possessions de la Couronne d’Angleterre.
Mais jusqu’en 1843 l’on constata la présence de vide bien souvent laissés par l’agriculture et l’élevage.
Elle devint forêt royale en 1337.
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La Glandée
De tous temps, on a glandé à Bercé, mais toujours dans le bon sens du terme. Dans le temps, menait au (parnage ou pasnage ou panage) les cochons (ou gorins) au pâturage ou à la glandée en forêt. La nourriture qui y était glanée n’était pas une charge pour les usagers… tout au contraire.
Au début du 20ème siècle c’était pour réapprovisionner les différentes pépinières du massif. Les femmes de forestiers étaient employées en priorité et on leur réservait des cantons qui étaient en général bien fournis.
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Série résineuse
Au plus profond des bois la patrie a son cœur
Un peuple sans forêt est un peuple qui meurt.
C’est pourquoi tous ici, lorsqu’un arbre succombe,
Jurons d’en planter un autre sur sa tombe…
…Et puissent nos enfants voir, aux saisons futures,
Des chênes et des pins les robustes ramures
Onduler sur la plaine et moutonner dans l’air,
Pareils aux flots mouvants et féconds de la mer.
André Theuriet - juin 1903 (1833-1907, académicien)