Articles
La chasse à tir
A propos à propos de la chasse
La chasse à tir …n’attire vraiment pas les photographes.
Cette rubrique est et sera l’une des moins imagée.
La forêt et les champs aux alentours ne peuvent se défendre seuls contre les envahisseurs à quatre pattes.
Les hommes , quand il s’agit d’un bien commun comme la forêt, se fédérent en association pour la défendre.
Le tir, il est vrai à force d’être si discret reste inconnu du grand public et n’en tire pas le même prestige que la chasse à courre, chasse spectacle par excellence.
Articles
Le Braconnage
A propos à propos de la chasse
Étymologie et Histoire Le mot “braconnier” a une origine incertaine, mais il est probablement dérivé du mot français “bracon” qui signifiait à l’origine “brasier” ou “feu de broussailles”.
1178 broconnier Signifie « veneur ou valet qui s’occupe des chiens de chasse » (Renart, éd. Roques, v. 13401) et 1637 (Crespin, Le Thresor des trois langues);
1655 bracconier « chasseur qui chasse furtivement sur les terres d’autrui » (Salnove, Vénerie, p.
Articles
La chasse en battue
A propos à propos de la chasse
En Bercé depuis l’origine des temps, les battues et la chasse en elles même, sont un mal nécessaire. De tout temps on chasse les bêtes fauves en Bercé. La survie des jeunes reboisements, des régénérations naturelles, des semailles et élevages agricoles, en dépendent. Les battues sont ordonnées au 19ème siècle par les conservateurs des forêts.
En 1844, la loi du 3 mai institue le permis de chasser.
Articles
Chauves-souris
L’atout biodiversité des vieux peuplements Ce qui fait l’originalité de la forêt de Bercé n’est pas tant la richesse en espèces végétales que l’âge auquel le chêne est mené. Cette longévité permet d’avoir de gros et grands arbres, particulièrement intéressants pour les pics et autres oiseaux cavernicoles, ou pour les insectes xylophages, en particulier ceux qui utilisent les plus grosses cavités des arbres creux remplis de terreau, tel le célèbre Pique-prune «Osmoderma-Eremita» qui stoppa net la construction de l’A28.
Articles
Le fer
A propos à propos de la métallurgie
Au secondaire La région est sous les eaux. C’est la pleine époque du Cénomanien, les sables et argiles se déposent.
Au tertiaire Retrait des océans, soulèvement des sols, érosion…, l’eau chargée d’oxydes de fer s’infiltre et se décante de sa matière minérale dans les sables et argiles, en bancs irréguliers et discontinus.
La forme et le fond : Tout désignait Bercé pour l’exploitation du fer.
Articles
L.I.D.A.R.
A propos à propos des découvertes archéologiques
La forêt n’a pas toujours été là … Et elle n’est pas naturelle car entièrement façonnée par l’homme.
La forêt est riche en éléments archéologiques et les sites présents sont très bien conservés. Si nous retrouvons des vestiges archéologiques en forêt, c’est parce que la forêt est un milieu qui préserve et conserve très bien ce patrimoine. L’érosion des sols y est moins importante qu’en milieu ouvert et les actions de l’homme liées à la gestion forestière sont bien moins perturbatrices que dans les champs ou en milieu urbain.
Articles
Le plus gros foudre du monde
A propos à propos de sa renommée
Tonnerre de Brest…. un foudre issu de Bercé !
Utilisé par les Celtes, apprivoisé par les Gaulois, il héberge le vin depuis plus de deux mille ans sans attirer l’attention.
S’il servait d’instrument de torture au Moyen-âge, il véhicule aujourd’hui le prestige et la tradition vinicole,
…Je suis… Je suis….. Je suis …le…
tonnelet … le tonneau… le fût… la busse (en Sarthe)… le baril… le foudre.
Articles
Chevaux
Chevaux et mulets en forêt : Le cheval … tracteur de nos aïeux.
Par le passé, le brioleur était un transporteur qui enlevait les bois et fagots abattus par les bûcherons en forêt, et les acheminait chargés sur les bâts de ses chevaux à la lisière de la forêt où ils étaient mis en tas pour être ensuite chargés par les rouliers. Le barasseur (baudelier, voiturier ou roulier) transportait plus particulièrement les troncs d’arbres ou autres bois avec des bêtes de somme et les évacuait du massif.
Articles
Les scieries
On sait scier du bois depuis l’Antiquité. L’invention de la scie à main (du latin secare, couper) est le fruit de l’observation, celle d’un homme qui aurait eu l’idée de reproduire dans du fer la denture de la mâchoire de requin ou les dents de la coquille Saint-Jacques.
Des modifications interviendront au fil des siècles sur la qualité et les matériaux des lames.
Mais c’est au 17ème siècle que l’on utilisera l’acier cémenté puis au 18ème siècle qu’arrivera l’acier fondu.